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IMPORTANCE DE L’INDEX VITAL
Le rapport Acide Ascorbique sur Acide déhydroascorbique dans le sang, appelé
index vital, est de 14 chez les personnes en bonne santé (c’est-à-dire qu’il y a
quatorze fois plus de
Vitamine C
utilisable dans leur sang que de
Vitamine C
oxydée). Ce rapport est inversé lorsque les personnes sont gravement malades
pour atteindre le chiffre fatidique de 0,3 lorsque les personnes sont à
l’article de la mort (méningite). On comprend aisément qu’il est plus facile et
rapide d’agir sur la quantité de
Vitamine C
disponible que sur les agresseurs du système immunitaire souvent responsable de
l’installation de cette situation critique. Le besoin en
Vitamine C
peut alors devenir très élevé, soit des maxi doses en
intraveineuse
pour des adultes allant de 0.2 à 2 g/Kg-j pendant quelques jours. Dans ces
cas-là, cette
Vitamine C
est entièrement et instantanément utilisé par l’organisme.
ANTISEPTIQUES, UTILES, NUISIBLES, MORTELS ?
Si la propreté des locaux est importante, si des
antiseptiques
peuvent être utilisés pour y contribuer, nous pensons que leur utilisation sur
les tissus vivants est un leurre et une grave erreur. C’est ainsi que 40
nouveau-nés
atteint d’omphalocèle
ont été empoisonnés par des applications de Mercurochrome ; «Iatrogenic neonatal
mercury poisoning from Mercurochrome treatment of a large omphalocele ». Mullins
ME, Horowitz BZ.
L’onguent
gris aujourd’hui interdit, était préparé à partir de mercure métallique appliqué
au patient jusqu’à déterminer chez lui une intense salivation. «Le mercure est
souverain pour faire disparaître la vérole : lorsqu’il ne supprime pas la
maladie, il supprime le malade.» (Un chroniqueur d’antan). Or, il est toujours
utilisé dans de nombreux vaccins. L’alcool ne présente aucune qualité
antiseptique, et va brûler les plaies. L’utilisation, comme le font certains
chirurgiens,
de «Bétadine»
diluée sur des plaies ouvertes ou même versée avec abondance dans les cavités
abdominales comme me confirmait un grand chirurgien, est une hérésie, en outre,
le Vidal ne fait mention que d’une utilisation externe. Il y a des décennies que
nous avons cessé d’utiliser les antiseptiques et les antibiotiques
principalement à cause de leur très importante toxicité pour les remplacer par
la
Vitamine C
suivant un protocole de nutrition cellulaire localisée. Le nettoyage des plaies
avec une solution de «C-Salts», le poudrage des plaies avec la poudre de «C-Salts»
micronisée donne des résultats exceptionnels, y compris sur les brûlures. (Dr.
Corson, Dr. Crussol). «Parmi les avantages, on peut noter : absence
d’apparition de douleur post-opératoire, cicatrisation accélérée, absence de
suites opératoires et d’infection.» (Crussol).
LA SYNERGIE ANTIBIOTIQUES/VITAMINE C
Un rapport de l’OMS publié cette année 2005 déclare «Nous assistons à une
érosion des progrès accomplis par la médecine au cours des dernières décennies.
«Les germes de la quasi-totalité des grandes maladies infectieuses commencent à
résister aux médicaments disponibles». L’efficacité des antibiotiques dépend
évidemment de la qualité du système immunitaire, donc de la qualité du milieu
intérieur du patient dont le facteur essentiel est le taux de
Vitamine C,
(Acide Ascorbique) dans le corps. Certains antibiotiques ne sont efficaces
qu’en présence d’une ascorbémie correcte. Si elle est faible, ces antibiotiques
aggravent la carence. Wlodkwski fit une communication ou il montra la
potentialisation de plusieurs antibiotiques par la
Vitamine C
entre 50 % et 75 %.
Wlodkwski, A.,»Abstracts of Annual Meeting American Society Microbiology» AAM
ASM A41. 1977.
RÉSISTANCE, ALLERGIE / ANTIBIOTIQUES ?
Il est très probable que l’allergie aux antibiotiques et la prétendue résistance
aux antibiotiques soient associées à une carence, (HypoAscorbémie Iatrogène).
Crussol Conférence 1990.
En neuf ans, le Dr. Cathcart n’a jamais rencontré d’allergie à la
pénicilline,
qu’il ne prescrit jamais sans avoir donné préalablement de la
Vitamine C.
Ce qui sous-entend qu’en réalité, ces allergies aux antibiotiques, qui on le
sait peuvent être mortelles, ne sont rien d’autre qu’un Scorbut
iatrogène,
c’est-à-dire provoqué par les traitements. Cela semble signifier également que
dans certaines circonstances, l’abus d’antibiotiques,
et en particulier les plus toxiques peut provoquer la mort.
LA VITAMINE C ET L’OXYGÈNE
En 1938, on savait déjà que
l’utilisation de la Vitamine C rétablissait la
tolérance aux hautes pressions pour les troupes à ski. En 1947, Peterson montra
que des souris ayant reçu une injection de Vitamine C
supportaient sans dommages des pressions d’air 17 % de la normale alors que tous
leurs compagnons succombaient. Le mal des montagnes ne serait ainsi plus un
problème.
Krasno & Coworkers ont montré en 1950 dans une expérimentation humaine durant
laquelle des sujets étaient soumis d’une manière répétitive à une altitude de 18
000 pieds une utilisation massive de leur Vitamine C
suivie d’une carence grave. Chez le rat qui synthétise à la demande de la
Vitamine C dans son foie, un manque d’oxygène
chronique aboutit à une élévation importante de la concentration de
Vitamine C dans la presque totalité des organes.
Schreiber M, Novy P, Trojan S. On comprend mieux alors les conséquences des
anesthésies générales chez l’homme qui dépend de la nourriture hospitalière.
CES PLAIES QUI NE GUÉRISSENT
PAS
James Lind en 1753 décrivit dans son «Treatise of Scurvy» les difficultés des
blessures à guérir chez le marin scorbutique. Sokolov 1932, Colp 1934 Fallis
1937? Ingalls & Warren 1937 au Peter Bent Brigham Hospital à Boston conclurent
que l’Hypoascorbémie ou le scorbut asymptomatique étaient très probablement
responsables des déhiscences cicatricielles.
La Vitamine C est indispensable à la synthèse de
tous nos collagènes, protéines assurant le maintien de nos organes. La carence
en Vitamine C aboutit à une résistance tissulaire
et osseuse (os de verre) diminuée. Le Professeur Clemetson dans son livre «Vitamin
C» chapitre 1 tome II décrit la fragilité tissulaire due à la carence de
Vitamine C, et l’on comprend alors mieux ce qui
peut se passer après la pose d’une sonde urinaire, d’une sonde œsophagienne,
d’une intubation, les tissus vont être gravement sollicités, blessés. Les
escarres disparaissent avec une supplémentation orale d’au moins un gramme de
Vitamine C ou avec seulement 300 mg de
Vitamine C ajoutée à la perfusion journalière,
selon l’expérience récente de quelques médecins hospitaliers. Effets, comparés
(double-aveugle) de Bioflavonoïdes de Citron, Vit C2 (900 mg. par jour), sur les
blessures par contact chez les joueurs de l’équipe de Football de l’Université
de Louisiane USA, durant la saison 1962. On observa une diminution de 50 % du
nombre des entorses par rapport aux équipes recevant un placebo, et, lorsqu’ils
sont blessés, font un séjour à l’hôpital quatre fois plus court.
HÉPATITE B POST-TRANSFUSION
Depuis que la Vitamine C est utilisée avant toute
transfusion sanguine, l’incidence d’Hépatite B au Japon est passée de 7 % à 0 %.
«Vitamine
C for Prophylaxis Of viral Hepatitis B in Transfused Patients, Journal of
The International Academy of Preventive Medicine, n°5, 1978 pages 54-58.
Morishige F., and
Murata A.»
SUR LES CHOCS OPÉRATOIRES
Un grand nombre d’articles ont été publiés autour des années 40-60 sur
l’utilisation pré et post-opératoire de la Vitamine C.
Nous en citerons trois ici, ainsi qu’un cas clinique : C. P. Stewart et al.
Intraveinous Ascorbic Acid in Experimental Acute Haemorrhage. Lancet, vol.1:
pp208-211. 1944 G.Ungar., Experimental Traumatic «Shock» lancet, vol.1 pp.
421-424, 1942 Z. Pataki, et al. Vitamin C in the control and prevention of
surgical shok; Zentralblatt fur Chirurgie, vol.82: pp.883-887. 1957.
Un homme de 65 ans se prépare à l’ablation d’une prostate tumorale en recevant
deux perfusions de Vitamine C de 30 gr deux fois
par semaine. L’opération par laparotomie dure 8 heures au lieu des deux heures
prévues. Il perd environ quatre litres de sang qui lui sont remplacés par
transfusion. Le Chirurgien décide, sans en exprimer la raison, de recommencer à
opérer le lendemain et l’opération de nouveau sous anesthésie générale dure deux
nouvelles heures. Le patient qui a reçu de nouvelles perfusions de
Vitamine C se porte très bien.
QUELQUES CAS CLINIQUES REMARQUABLES
Une femme à qui un Chirurgien Esthétique a posé deux implants en silicones au
niveau des pommettes présente depuis six mois un abcès énorme rebelle à tout
traitement, et qui doit être ponctionné chaque jour. Depuis six mois la patiente
est porteuse sur le visage d’une compresse et d’un sparadrap. La situation
rentre dans l’ordre après quelques jours d’une dizaine de grammes de
Vitamine C par voie buccale, et l’implant en
silicone peut être conservé.
Une femme dans sa trentaine est hospitalisée atteinte d’une septicémie tellement
rebelle que les médecins lui avouent leur impuissance, elle va mourir dans les
deux jours. Persuadée de vivre ses derniers instants, cette mère de cinq enfants
distribue ses enfants à ses amis les plus proches. Puis, avec vingt-cinq grammes
de Vitamine C dans une perfusion, chaque jour
pendant deux jours, elle rentre chez elle par ses propres moyens.
Jeune fille de dix-huit ans atteinte de la Maladie du Légionnaire, dont on a
prédit la mort prochaine à ses parents : elle respire à peine, double pneumonie.
Soixante grammes de Vitamine C par jour en
perfusion, le quatrième jour, elle veut aller danser, fin du drame...
Femme de trente-cinq ans, mère d’une fillette, atrocement brûlée dans un
accident de voiture. Greffée du visage et des mains par quarante opérations sur
quatre ans. Elle est dépressive, son visage est figé et impressionnant, son
ouverture de bouche est d’un centimètre, agoraphobe, son foie est en capilotade.